Dans l’ordre, ce qu’il faut faire :
deux coordinateurs, un pour gérer la protection et un autre pour l’alerte.
Commencer toujours par protéger les personnes accidentées et le reste du groupe de la circulation routière pour éviter un sur-accident. Mettre une personne à environ 100 mètres de chaque côté de l’accident pour avertir les automobilistes, si possible avec un éclairage. Avoir un gilet jaune dans sa poche prend peu de place et peut être très utile.
Une personne du groupe appelle le 18 (pompiers) ou le 112 (numéro de secours valable dans toute l’union européenne)
Indiquer le lieu de l’accident de façon la plus précise possible : n° de la route, nom du quartier, entre quelles communes, ou mieux les coordonnées de l’endroit (un appui prolongé sur le lieu dans Google Maps permet de lire les coordonnées dans le champ de recherche au-dessus)
Répondre aux questions des secours : nombre de victimes, leur état…
- ne pas la bouger (sauf risque très fort de sur-accident sur la route)
- ne pas enlever le casque
- la couvrir ( vêtements, ou mieux couverture de survie…)
- répondre par téléphone aux questions des secours
- parler à la victime et vérifier que son état ne se dégrade pas en attendant les secours.
- la mettre prudemment en Position Latérale de Sécurité (sur le côté), pour éviter un éventuel étouffement par fausse route si elle reste sur le dos.
- informer les secours
- faire en urgence un massage cardiaque (5 fois 30 compressions sur le sternum en deux minutes puis 2 insufflations)
- pendant ce temps une autre personne cherche un défibrillateur.
- Continuer le massage cardiaque en se relayant à plusieurs jusqu’à l’arrivée du défibrillateur ou des secours.
- Défibrillateur : suivre les consignes d’installation affichées puis les consignes orales de l’appareil.
- c’est un cas d’extrême urgence. Surtout ne pas rester sans rien faire par peur de faire une erreur.